Morpheus, il y aura toujours des riches, il y aura toujours des pauvres. Et si pour y remédier vous nous proposez la seule alternative possible, c’est-à-dire la tyrannie d’un communisme, je vous déclare en toute honnêteté préférer ma modeste condition dans le monde actuel, avec mon salaire de merde, mes coups d’épée dans l’eau... et la capacité qui m’est donnée de m’instruire et d’instruire mes enfants. L’égalitarisme, c’est le partage du vide.
La richesse n’est pas un mal en soi quand elle est honnête, de même que la pauvreté n’en est pas un si elle est méritée, car parfois, oui, elle est mé-ri-tée, tout comme la richesse, ce que l’égalitarisme se refuse à voir.