« Dans ces romans de « fiction spéculative », il s’interroge sur la
stabilité « des moteurs de la prospérité », les ressources nutritives ou
énergétiques. Son résumé de
La Fille automate ? « Des grosses
multinationales agroalimentaires utilisent la biotechnologie pour
inventer des aliments et engranger du profit. Et si des entreprises
comme Monsanto prenaient sans contrôle le pouvoir dans le monde, quelles
en seraient les conséquences ? » Pour cette œuvre, il s’est appuyé sur
des discussions avec ses voisins fermiers. Lors de notre rencontre, il
rappelle
la décision favorable de la Cour suprême à Monsanto face à un petit agriculteur de l’Indiana. Et un peu plus tard, les échos de
l’affaire Spanghero, parvenus jusque chez lui. » (...)