Attali, la pythie décomplexée de cette mondialisation porteuse de la déshumanisation, l’abolitionniste des frontières et des nations qui présente, toute honte bue, le nomadisme à l’échelle planétaire comme une chance, celui-là meme qui fera, pourtant, de l’espèce humaine toute entière des "juifs errants" d’un nouveau genre subissant non plus cette fois-ci la malédictions d’un Dieu en colère et vengeur, mais la cruauté et le sentiment impérieux de domination d’une oligarchie polymorphe... ! Attali l’apologiste éhonté de la caste des élites qui eux seuls auront un droit d’accès à la propriété privée, là où la masse ne possédera plus jamais rien en propre, pas meme un pays d’origine, pas meme des racines, celui qui annonce un gouvernement mondial comme "inéluctable" ayant pour capitale Jérusalem, comme la source du rassemblement et de la concorde Humaine assurant " définitivement "la paix et la sécurité" là où il n’est, en réalité, que la promesse certaine d’une dictature impitoyable , voire d’un esclavagisme irréversible....Hé bien, cet Attali, ne me fait connaitre, quant à moi, que deux espèces "de crises" dès que je l’entends : La crise de rire melée à la crise de rage !