Merci Nora pour cet instant de bonheur après cette journée à côtoyer la haine ibérique de ce mongolien dérangé et son visage puant qui me sort par les yeux, ça fait plaisir de le voir face à l’éternel retour du concret, et ce n’est que le début. A sa place j’en perdrais le sommeil, et je n’aimerais pas être dans son cerveau malade, même pour toutes les quenelles du monde, heu l’or des fous du monde, bref vous m’avez compris