Frédéric TaddéÏ à réussi le coup de force de tenir, dans la durée "sur" France 2.
 Il a défendu jusqu’au bout la liberté d’expression puisque c’est grâce à lui que l’on a vu débattre ceux qui posent les bonnes questions et qui, forcement, doutent au sujet du 911, Soral, Dieudonné et récemment Asselineau puis Bricmon. Ces ouverture ont été comme des entrées d’air frais dans ce système confiné et puant que sont devenues nos médias télévisées.
 Il a fait son boulot, au mieux, connaissant la faible marge de manoeuvre qui lui restait. Son éviction après l’émission, qui a lieu sur France cinq et en plus, "à table" *, avec P.Cohen, à valeur de symbole. Il se défend pied à pied et ne perd pas son honneur devant une "telle infamie" *.

 Etre viré dans la situation pourrie actuelle est en fait une consécration.

 * "à table" : on ne pouvait mieux faire. Presque comique, style Guignol.
 * "une telle infamie", si, si, le côté Cornélien de l’affaire est à retenir.