@hieronymus

je vais quand même intervenir sur ce fil qui est très masculin, cela me rappelle un match de boxe, les fans (et pas seulement) de Soral sont prêts à tuer pour lui, et assistent, frustrés aux coups, parfois bas (la soeur)...
je trouve que vous vous emballez un peu les mecs...
vous vivez les dernières illusions de la liberté d’expression ... si la liberté d’expression existait, ils n’auraient pas pu bafouer le vote de plus de 52% contre la constitution européenne, il n’y aurait pas eu le saccage de la Libye, on n’entendrait pas qu’il y a des djihadistes français en Syrie et la France mercenaire seconde quand même l’établissement d’un Etat islamique....
il faut se réveiller un peu et regarder la réalité...
vous écrivez "oui c’est très juste, cela fait penser à Nietzsche (la mégalomanie à Soral va encore enfler), Nietzsche qui avait analysé par le menu et s’était emparé victorieusement de toute la philosophie humaine des Présocratiques jusqu’à Hegel, devait en même temps avouer :

"ma mère et ma soeur, ce sont mes abysses insondables, il s’agit là d’une mécanique implacable capable de me blesser le plus cruellement, etc..."

C’est un peu ridicule (permettez moi ce jugement) de comparer Soral à Nietzsche, je veux bien que vous trouviez Soral talentueux et tout ce que vous voulez, mais de mon de point de vue, vous faites un sacrilège en le comparant à Nietzsche. Soral n’a rien inventé, n’a pas innové dans la pensé. Il n’a fait que recycler les idées des autres, en les simplifiant à outrance parfois.

Nietzsche est un génie, et Soral est une quantité infinitésimale comparé à lui. Le génie de Nietzsche n’a rien à voir ni avec sa mère ni avec sa soeur. Je peux dire la même chose à propos de ma mère et de ma soeur "ma mère et ma soeur, ce sont mes abysses insondables, il s’agit là d’une mécanique implacable capable de me blesser le plus cruellement, etc", les blessures dues aux proches ne sont pas spécifiques à Nietzsche ou à Soral, c’est d’un commun...

Cette histoire d’acharnement sur Dieudonné et Soral me semble louche pour que le système combatte des moulins à vent. Derrière la mise en scène il se cache des desseins moins avouables... c’est la campagne électorale qui a commencé, et chacun cherche à rameuter son troupeau, et rien de tel que l’émotion et la peur..