Tout est dit dès les premières secondes : il parle des "enfants de la république".
Ainsi selon Peillon, et tous ceux qui parlent comme lui, les enfants appartiennent à la république. Ils ne sont qu’accessoirement enfants de leurs parents. Et ça semble les déranger, surtout lorsque ces parents ne pensent pas comme "les serviteurs de l’État" l’ont décidé.
Quelle dérive !!!