"Je ne sais pas sonder les cœurs et les âmes", il me semble que c’est comme ça qu’on défend Dieudonné. Si on se met à combattre nos adversaires avec les mêmes armes, on a perdu. C’est possible, alors, si nous avions le pouvoir, au lieu de l’envoyer "dans un asile psychiatrique" (quelle horreur), mettons-la face à ses contradictions, face à ses cauchemars peut-être (la bêtise de son anti-complotisme, ce genre de choses) plutôt que de faire du Fourest contre Fourest.