"Je pense qu’ils devraient prendre conseil auprès d’une société de communication afin de ne pas brouiller le message."
Le problème, c’est que dans son infinie suffisance, Asselineau est convaincu - en un seul mot - que personne ne peut faire mieux que lui.
Je ne sais pas si vous avez vu son projet de billets de banque pour le retour au franc, mais c’est en même temps un retour à l’entre-deux-guerres question graphisme. Et avec, pour le billet de 50 francs, un hommage au groupe Manouchian, qui comptait 12 sionistes sur 23 condamnés à mort.
Allez comprendre...