Pour se détendre, rien de tel que le publi-reportage que consacre le service public français à la malheureuse Anne Rosenberg, une démunie notoire, qui, à la force du poignet, sans piston ni relations bien placées, a gravi les échelons de la gloire, malgré la haine féroce de l’antimimitisme international qui voyait en elle une militante, et non une journaliste...
Les gens sont méchants...
A l’automne de sa vie elle se voyait première dame d’Is...de France, elle terminera avec le titre de "première cocue de France"...
Peut-être n’aurait-elle pas connu semblable infortune avec un goy...
Les "élus" et leurs hormones... y a souvent de l’agitation dans le bocal...