Bouhouhou , ces pauvres femmes, éternelles victimes de l’histoire.
« L’histoire de toute
société jusqu’à nos jours n’a
été que l’histoire de luttes des sexes »
écrivait Karlette Marx que
l’on voit poser dans cette photo à coté de son double masculin …
Plus sérieusement,
évidemment que le traitement des femmes dans certaines sociétés laissent à
désirer ! Mais le traitement des hommes également est en général pitoyable
dans ces sociétés de castes, notamment en Inde avec les « Dalits »,lire ce dossier
très intéressant de ragemag.
Le combat féministe a ceci
pour particularité de morceler les luttes sociales, les fragmenter pour
substituer la lutte entre classe à des luttes sociétales périphériques qui ne
sont en réalité que des conséquences et c’est la raison pour laquelle les féministes,
à quelques exceptions près ont toujours été recrutés par le capital !
Evidemment qu’il faille
lutter contre ces formes de servitudes de la femme, qu’on ne me fasse pas dire
le contraire mais ce combat doit être intégré dans un combat social global sinon,
il n’a aucun sens.
Il aurait été préférable d’ être une femme patricienne sous l’empire
romain qu’un homme esclave, d’être une baronne sous ‘l ancien régime qu’un serf,
une bourgeoise dans la société moderne du XIX qu’un prolétaire enchaîné à sa
machine outil.
C’est la lutte des classes !
Une fois que cela est dit, l’article
prend tout son sens : lutter contre
le capitalisme pour que les prolétaires indiens ne soient plus dans la nécessité
d’abandonner ou d’avorter de leurs filles pour subvenir à leur besoin
fondamentaux …