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voxpopuli 8 mai 2014 16:57

Complètement débile, l’interprétation que les bobos font de cette histoire.

"Car tout cela aboutit à la décharge publique sise sur l’île aux fleurs, là où les autochtones les plus pauvres fouissent les ordures après les porcs pour y trouver quelque nourriture" 

 Pour écrire ça il faut vraiment ne jamais avoir vu un cochon en vrai (à part un petit bout dans son assiette) car, question nourriture, là ou le cochon passe il ne reste plus rien ! Et c’est justement pour cette raison que les employés au recyclage des ordures utilisent intelligemment le cochon pour séparer les déchets organiques des plastiques et autres matériaux qu’ils récupèrent. 

La séquence de la fin où l’on voit la barrière s’ouvrir pour laisser entrer les gens n’est autre que le film de cette activité. Les barrières sont là pour que les cochons ne s"échappent pas.... Mais ça peut prêter à confusion , alors l’idée que les pauvres bouffent après les cochons nait dans l’esprit jubilatoire de l’auteur. Quel humour !

Récompensé pour ce côté cynique probablement par des élites qui méprisent les pauvres, la classe des bien pensants , incapable de saisir quoi que ce soit au delà du premier degré, voit une "dénonciation du capitalisme" quand le capitalisme se moque d’eux...et ils applaudissent ! 

Ce court métrage est une farce, rien d’autre...Et il a ceci de génial qu’il parvient à se faire apprécier par les dindons de la farce. mdr




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