Sade avait probablement un truc qui ne tournait pas rond dans sa tête.
Cependant, soyons équitable : il a écrit dans toute sa triste vie de prisonnier bien moins d’horreurs gratuites qu’il n’en est actuellement filmées et présentées au public chaque année sous prétexte d’art cinématographique : viol, écorchements, désossements, éviscérations, électrification, cannibalisme, etc. C’est au cinéaste qui inventera la nouvelle scène la plus abominable !
Et le pire, c’est que les horreurs réelles commises par les êtres humains sont encore plus nombreuses chaque année que toutes celles qui sont mises en scène dans des fictions (il y a assez de guerres pour cela, sans compter les actes plus isolés et discrets).