Etant donné que le règne de la marchandisation s’est désormais approprié le corps humain, que quelques hurluberlus de ce genre (Ray Kurzweil et son transhumanisme pour l’hyper-classe) promeuvent le corps en tant que machine dont les organes sont remplaçables comme les pièces d’un moteur d’un bagnole, régénérer le sang de quelques millionnaires, si ça ne coûte qu’une vie de gueux, pas de souci, ça se fera. Le Marché n’est pas immoral, il est a-moral...