C’est toujours le même processus dans les critiques de personnes, quand la personne ne plaît pas pour raisons à quelqu’un qui fait un sujet sur ces personnes, ici avec un montage tronqué sans queue ni tête, désolé, c’est que la personne qui utilise dans le cas de Dieudonné par exemple, ou Alain Soral dans un autre cas, des tournures de phrase ou des effets de manche du premier ou du deuxième degré, la personne qui reçoit ces informations comprendra, ne comprendra pas, ou fera semblant de ne pas comprendre les nuances du discours selon les affinités que l’auditeur ou le spectateur ressens envers ces personnes.
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T’aime pas Dieudo : ce n’est pas un humoriste, c’est un militant politique qui tient des meetings antisémites.
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Tu es neutre vis à vis de Dieudo : tu vas voir ses spectacles et tu te fais une idée par toi même.
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T’aime Dieudo, tu comprends que ses spectacles sont dans la satyre absolue de toutes les absurdités de la société humaine avec ses travers et ses incohérences, une satyre implacable du théâtre de la vie où tout le monde y prend pour son grade, et pour une fois les sionistes comme les autres, placés sur un pied d’égalité avec tout le monde, c’est peut être cela qui ne plaît pas à une certaine caste, être mise sur le même plan que les autres humains dont elle se croit au dessus, proche du soleil.
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Pour Alain Soral, c’est pareil, pour la défense de l’auteur de cet article, c’est que dans le jeu des phrases tronquées sorties de leur contexte, et compilée en vidéo fast food de 4 minutes et demie, Soral tend les perches pour se faire battre, puisqu’il parle cash et sans ambiguité pour qui écoute son discours dans son intégralité, même si Soral se trompe parfois aussi lourdement, a des failles dans ses analyses qui tiennent pour beaucoup du contorsionisme idéologique, c’est le principe du penseur que d’essayer de s’élever pour avoir une vue globale des situations, pour appliquer ensuite son esprit de synthèse, on reste dans l’exercice intellectuel, ce qui n’est pas donné à tout le monde, par contre comme ce n’est que de la théorie basée sur la pratique, si les analyses de Soral sont pertinentes, ses solutions sont audacieuses puisque plus proche de l’utopie que du réalisable, même si dans l’absolu, ce serait une des solution souhaitable sur le court terme pour limiter la casse qui résultera des politiques économiques et sociales qui deviennent de plus en plus délirantes, pour les peuples, les gens du quotidien, de la part de ceux qui tiennent les leviers du pouvoir et ne les utilisent que pour protéger leurs intérêts qui ne sont pas les nôtres.
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Tachons pour commencer de ne pas se tromper d’ennemi, pour se faire, avant de vouloir changer le monde, essayons déjà de nous changer nous mêmes.