en fait il y a une différence de taille entre la Suisse et la France : en France, un jeune de banlieue sur deux n’a pas de perspective d’avenir, donc le deal de rue est assuré par les locaux, en Suisse, la grande majorité des jeunes même issus des quartiers populaires et des cités dortoirs ont une perspective d’avenir meilleur que de dealer à la sauvette en bas des immeubles donc ça crée un appel d’air pour les immigrés clandestins.