Un milliard d’ euros par an (et emprunté sûrement) pour des gens qui ne foutent rien, c’ est de l’ argent jeté par la fenêtre.
Cela coupe ces soi-disant artistes de leur public, le monde de l’ art fonctionnant dorénavant en vase clos, avec des spectacles pour eux et par eux, et que personne ne va voir.
L’ art subventionné et fonctionnarisé, c’ est la mort de l’ art.