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Arnaulde Schwarzandgueguerre L’Equatorien 19 août 2014 23:56

Si je vous suis bien, Moissonneur Des Lilas, vous essayez de nous faire nous interroger, nous faire nous demander si il est raisonnable de penser qu’il est positif de voir en ces signes de panique du pouvoir en place un effritement du système ou pour imager, une brêche dans les remparts de la forteresse qui détient les clés de la dictature plus intellectuelle que physique sur les êtres biologiques que nous sommes et qui se sentons collectivement de plus en plus à la place de têtes de bétail que l’on engraisse pour l’abattoir ou pour les plus cinéphiles d’entre nous, de plus en plus nombreux à nous sentir des Néo se réveillant pour découvrir ce qu’est la matrice. Est ce bien celà ?

^^

Ou pour faire court, poser la question suivante : Est ce positif de penser que quand celui qui vous braque avec un flingue, donne des signes de panique ?

^^

Dépend de la nervosité et de l’émotivité, de sa capacité de sang froid et de contrôle de lui même, du degré de zenitude face à la pas nique(r depuis 8 jours ça compte aussi dans l’équation facteur stress, ndla), du propriétaire de l’index courbé sur la détente qui libèrera le percuteur qui amorcera la balle qui vous explosera la cervelle sur le mur d’en face dans un bruit de déglutition vomitif avec le "splof" poétique, caractéristique de la méduse que l’on jette sur la table pour faire rigoler les copains pendant le repas lors d’un camping sauvage sur une plage de sable fin.

^^

Oui, là, le point de vue de l’otage est différent de celui du forumeur dans le potage... L’otage se surprendra à ne plus trouver positif, le fait de la panique nerveuse et terrorisée du mec qui le tien en respect avec un desert eagle point cinquante sur la tempe détrempée de son crâne en sursit d’exploser tout soudain.

^^

Il aurait plutôt tendance à touver quelques points négatifs de voir son potentiel bourreau suer à grosses gouttes, le doigt tremblant, majeur artisant de la possible mort de l’otage, mis soudain à l’index de sa propre vindicte inquisitrice, guidée par son indicible peur confinant à la terreur de mourir prématurémment sous les yeux de ses proches ou seul dans un coupe gorge, oublié de tous et toutes finira comme un Gavroche mais sans peintre pour immortaliser son martyr anonyme. Otage et bourreau sont uns et indivisibles pendant un court laps de temps suspendu pour un instant comme une parcelle d’éternité, un moment figé dans le temps, comme ces lignes plairaient à Jovanovic qui passerait de la Volvic à la Volvo en un rien de temps. Bref quand l’otage voit son bourreau paniquer il se dit qu’un coup est vite parti, et se met alors à trembler pour sa vie, car effectivement, quans on ne nique pas, le coup part trop vite, ensuite.... A méditer façon Médialter, nâtif et terre à terre...

^^

Quant à la manipulation, jusqu’à quand ou jusqu’où ne sommes nous pas manipulés par quoique ce soit ou qui que ce soit quitte à ce que ce soit, ne serait ce que soi ?




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