Si on part du principe, l’Equatorien, que ceux qui nous ont éduqués, c’est à dire les pères et les mères de nos grand-pères et autres arrières mères-grand étaient eux-mêmes formatés dans des croyances pré fabriquées et effrayantes au service d’une idéologie sous couvert de religion, nous sommes tous des fils et filles de manipulés depuis des générations, ce qui pourrait expliquer le succès des sectes basées sur du mysticisme de pacotille utilisé à des fins politiques ou de domination ou encore servant d’alternative à des mâles non dominants, de baiser QUAND MÊME, des femelles au même nombre que des mâles dominants par recours à des méthodes ancêtres et ancestrales du contemporain hacking en faussant les valeurs primaires du muscle et de la force brute par des moyens détournés tels que la monnaie et surtout par l’alteration du verbe du commencement en piratant le sens des mots et en inversant les pôles de leur charge émotionnelle d’origine pour utiliser leur signification respective en les détournant de leur fonction première et pour in fine, les diluer dans le flou où se noient vérités et mensonges afin de se mélanger pour former de nouvelles vérités et de nouveaux mensonges pour que disparaissent nos origines à tous et toutes, pour que la Vérité, seule ennemie crainte de la domination par le mensonge et ses adeptes de la culpabilité et des peurs pour asservir des peuplades entières sur une longue période de temps, soient dissoute et oubliée à tout jamais pour que perdure le diviser pour régner pendant des siècles et des siècles, amen, faisant du langage le premier piège, le premier rouage de l’engrenage manipulatoire de la grande illusion dans laquelle les élites séculaires nous maintiennent, nous, les masses, dans l’ignorance crasse, ne délivrant qu’à chaque fois un peu, des miettes de leurs connaissances mais garantissant toujours leurs avances technologiques et intellectuelles. Ce qui amène à deux questions fondamentales :
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La première, si nous, cons sommateurs, disposons d’une avancée technologiques jamais vue dans l’Histoire depuis ces deux dernières décennies, alors de quelle technologie dispose donc l’élite et ses affiliés sachant que les travaux de Nikola Tesla ne sont pas tombés dans des yeux d’aveugles et d’oreilles de sourds ? Ni d’ailleurs dans ceux de Gilbert Montagné, qui va chanter à Tel Aviv car il n’a pas encore ouvert les yeux ni vu d’enfants palestiniens déchiquetés, ni dans celles de Ludwig Van Beethoven qui était, comme chacun le sait, lourd comme un rot.
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La seconde, est ce que le marché leur est tellement monté à la tête à ces élites qui n’en sont pas moins humaines avec tout ce que cela implique comme faille dans le Bios, que ce que nous vivons est l’exacte description déjà écrite dans de nombreux ouvrages considérés comme saints par une bonne frange des population que constitue le vivier et le cheptel de croyants se revendiquant de ce que l’on nomme communément les trois religions du livre où il est question de l’effondrement d’antiques civilisations mais cette fois ci à l’échelle planétaire, tant les ravages de l’admiration des idoles, du culte du veau d’or, le matérialisme au détriment du spirituel engouffrent malgré eux, les plus forts d’entre nous, qui ont cédés pourtant et malgré l’éradication officielle de l’idéologie spartiate ou nazie, basée sur une logique de supériorité génétique ou issue d’essence divine, héritière des savoirs perdus venus du fond des âges et dépassant les primates que nous faisons semblant de ne plus être, à une forme de retour à la loi des seuls les forts survivent à laquelle par sagesse ou par vanité nous avons tenté malgré nos natures primitives et à force de dégoûts successifs pour ce que nous sommes dans ce que nous reflétons, de fuir à tout prix comme si le pire ennemi de l’homme était l’homme et seulement l’homme ? Ou si plus précisément notre meilleur ennemi était en fait, nous même ? Veau d’or ? Ou retour aux sources par l’introspection qui sera forcément spirituelle ou ne sera pas. A mois que le fantasme de l’homme qui se voulait divin, qui créa dieu à son image et se prit lui même pour un dieu alors qu’il n’est même pas fourmi d’un univers qu’il ne connait pas mais qu’il pourtant envahit sans se poser la question du long terme de sa survie et de son vaisseau planétaire qu’est la terre mère.
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Oui... Tant de questions dont les réponses engendrent d’autres questions et ainsi de suite, tant va la spécule à sion qu’à la fin elle se moïse...