Le
Coran est de stricte application. Pour mémoire, « révélé » à Mahomet au
VIIème siècle par l’ange Gabriel, il ne peut ni évoluer, ni
s’adapter, car c’est la parole de Dieu. Et on ne touche pas à la parole de Dieu !
C’est pourquoi toutes les traductions – de la plus ancienne à la plus récente –
disent la même chose, avec des nuances dues à l’évolution du français et à
l’apparition des « nouveaux musulmans ». Souvent, dans la première
traduction, il est dit « combattez ».
Dans les plus récentes, ce terme est remplacé par « tuez ». Ce qui est contraire à l’évolution de la pensée, telle
que la conçoit notre société, mais bien conforme à l’avènement prochain du
Jihad.
Certains
théologiens musulmans qui s’autoproclament « grands savants de
l’islam » et qui sont dits « les nouveaux penseurs critiques de
l’Islam » affirment aujourd’hui que la lecture littérale du Coran est
doublement intraitable : par le mystère résultant de l’obscurité des
textes d’une part et les contradictions qu’il contiendrait d’autre part.
Sous
le couvert de raisonnements tarabiscotés, dans un langage ésotérique et
volontairement obscur, ils disent en gros que nous n’avons rien compris de « la splendeur des versets et du merveilleux
du Coran par son sens caché ».
Balivernes.
À
qui donc s’adressait le Coran ?
Le
Coran n’a pas été écrit à l’intention d’une élite raffinée et cultivée, avide
de culture, de beauté philosophique, de poésie, de profondeur d’esprit et de
grandeur d’âme.
Non,
ce n’est pas le cas. Pas du tout.
Le
Coran s’adressait à des barbares errants aux mœurs dépravées, pillards et aussi
analphabètes que corrompus.
Pour
vérifier ces affirmations, il convient de se souvenir que le Coran a été rédigé
par un conducteur de chameau analphabète dans le but de rassembler les tribus
voisines autour de lui à des fins de domination et de conquête.
Il
ne s’adressait pas à une élite intellectuelle élevée et cultivée…
Pour
imposer la loi à de pareils barbares, il faut autre chose que des textes philosophiques poétiques au sens
caché pour le vulgaire et le commun et dont la compréhension ne serait réservée
qu’à une seule élite…
C’est de
l’escroquerie intellectuelle.
Le
Coran n’a rien à voir avec « Le Petit Prince ». Certains l’ont même
comparé à « Mein Kampf » pour ses propos antisémites !
Le Coran est la règle absolue du musulman. Il
est obligé de s’y tenir inconditionnellement.