ça le dérange peut-être, mais curieusement pas tant que cela, parce que si ce que vous disiez était vrai, il se jetterait sur la tradition comme rempart contre l’atlantisme issu du plan Marshall qu’il dénonce.
.
Mais il fait exactement l’inverse. Comme je l’avais prévu dans les premières vidéos de l’interview, au moment où on lui demande : qu’est-ce qu’on peut faire maintenant ? subitement il ne dit plus RIEN. Hormis son idée de bien s’occuper des mots, ce qui n’est pas une idée mauvaise, sur le plan de l’avenir, il n’a rien à proposer. il s’en fiche.
C’est donc bien un vrai marxiste, mondialiste à souhait, heureux dans le fond de tout casser, sans rien à y mettre à la place. Voilà la définition-même du démon, le destructeur. Et sur le champs de ruines fumantes de ses théories, arrivent tout naturellement coca-cola, apple et lady-gaga. Comme tout marxiste, il est le meilleur allié du capitalisme.