Zemmour sur le grill, cuisiné froidement de façon inégale, 3 roquets du système contre le pauvre petit réac qui veut inverser la destruction de nos civilisations avec les mêmes méthodes qui ont été utilisées pour destructurer nos sociétés. Vaste programme.
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Léa Salamé sans doute désireuse de faire oublier qu’elle a travaillé avec ce Zemmour sur lequel elle s’acharne en inquisitrice trop zélée avec une tronche de fliquette que même les juges chargés du dossier Dutroux n’affichaient pas.
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Caron fidèle à lui même, transparent et inutile quand il n’est pas insupportable de pénébilité. Un sens de l’humour que n’aurait pas renié Haziza, grand humoriste popeckien devant l’éternel BHL.
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Le petit ruquier zozotant ses convictions de faux cul patenté, désavouant son ex employé, il s’agissait de gonfler l’audimat et de se faire le Z. Véritable fer de lance du choc des générations à venir, dégénéraSion ou dégénéressence de l’idéologie du vivre ensemble qui fonctionne à merveille chez les bobos friqués qui ont ainsi l’illusion d’être dans le meilleur des mondes possibles, humaniste, fraternel, équilibré tant qu’ils n’ont pas à se soucier de leurs fins de mois grâce à la gamelle gargantuesque dont ils bénéficient en tant que chiens de garde médiatique au service de sa majesté l’oligarchie, tout va bien dans les beaux quartiers où la diversité y est encore charmante exotiquement parlant et pas envahissante contrairement à nous autres, les sans dent, les trop cons pour comprendre l’ouvrage de Zemmour, les couillons tentés par le vote extrême et aux relents Vichistes.
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Paxton qui fait mouiller de désir une salamé sale amie déboulonné par le futur infréquentable Z qui tente dans une suprême provocation en milieu boboïde hostile de dire que Pétain n’était pas le monstre décrit par l’illustre connard de Paxton, star des intouchables.
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Ruquier et sa bande de gros niqueurs à la pensée unique ont tenté de mettre sur les épaules de Zemmour une croix bien lourde pour de frêles épaules qui dominent quand même une paire de couilles qu’envierait un Roco Sieffredi, il souffle sur les braises de la guerre civile, vit dans une France qui n’existe plus, fantasme sur les sentiments d’insécurité et conteste les sacro saints chiffres qui sont les mêmes depuis trente ans à savoir l’éternel barême des 3 millions de chômeurs, des 3 millions d’immigrés, alors que si on fait un simple calcul de proportion au pourcentage dans n’importe quel endroit de France on s’apercevrait bien vite qu’elle s’assombrit constamment au niveau du teint de peau. Malheureusement pour les truqueurs de chiffres d’illuSionistes, les minorités visibles ont ceci de facheux, c’est qu’elles se remarquent comme le nez au milieu de la figure de Cuckierman.
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Oui le spectacle bobo continu, les bandeaux devant les yeux aussi, le déni des alcooliques atteint également les gauchiasses idéologiques qui imposent encore leur logiciel bugué et envahi de malwares et autres troyans qui ne fonctionne pas comme une marque de fabrique de chez Microsoft, 25 ans plus tard, on attent toujours le windows qui fonctionne sans planter, les gauchistes bobos endoctrinés à la sauce PS depuis trente ans le défende malgré tout becs et ongles pour tenter d’infester les gens du réel, sauf que, heureusement, l’éternel retour du concret a ceci de merveilleux, c’est qu’il est éternel quoique les humains idéalistes, utopiques et qui se prennent pour des sorciers sans même en être apprenti puissent faire pour tordre la réalité à leurs désirs de débiles profonds.
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L’hétérosexualité doit devenir anormale. Pour Ruquier il l’a sans doute rêvé, un monde où l’homosexualité devient la norme, plus besoin de dragées fuca.