"1. D’abord et avant tout : la responsabilisation individuelle. Les
entreprises, organisations, etc. sont de très bonne chose mais cela ne
reste QUE des récipents de contrats. Il faut que les gens, le "réel",
redeviennent responsables de leurs actes et ne puissent plus jouir d’une
irresponsabilité parce que caché derrière le sigle "magique" d’une
entreprise à responsabilité limitée.
Donc si une corporation pollue votre propriété, vous devez être en
droit d’attaquer le ’vrai’ donneur d’ordre, ce qui est une personne au
sein (et qui sait l’ordre vient peut être du "patron") de cette société
comme vous pouvez attaquer la société en tant que tel."
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Ok.
Mais qui me garantit ce droit d’attaquer le responsable ?
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"2. Capitalisme de connivence. Comme précisez ci-dessus l’industrie
pharmcologique a mis au point une nuée de règlement qui empêche
l’émergence de toute nouveau concurrent. Elle se borne à racheter les
solutions originales faites par des startups car la mise sur le marché,
respecter toutes les contraintes légales est strictement hors de prix.
Réduire l’état à ses missions régaliennes (justice, défense, etc.)
réduit son perimètre de régulation, il ne peut plus par exemple
totalement détruire le marché pharmaceutique. Les corporations n’ont
plus de levier régulatoire pour éloigner la concurrence."
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Ok. Mais par quel moyen est-ce que je contrains les pharmaco à démanteler leur monopole de fait, maintenant qu’ils l’ont ?
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