@funambule
-En fait, c’est plus
compliqué, c’est plus facile d’apprécier un chemin quand on a une visée.
------> Il faut évidemment une visée.Mais, dans ma
perception des choses , la finalité n’est qu’ un prétexte pour emprunter un chemin.
Car en général , kla visée en soi est une utopie irréalisable et si le but est
réellement de la réaliser dans ce cas aucun chemin n’y mène.
Par contre si la finalité n’est
qu’un prétexte, on peut emprunter un chemin et essayé de s’en rapprocher le
plus possible. En d’autres termes, lorsque je décoche ma flèche , je vise la
cible mais le fait que je ne l’atteigne pas n’est pas un problème le véritable
but était que ma flèche s’en rapproche le plus possible.
-Le top, c’est quand on est
persuadé que l’on a une visée qui se confond avec le chemin. L’impératif
catégorique Kantien (selon moi en tous cas, je ne crois pas que les philologues
seraient d’accord, avec leur perception "people" des idées).
------> Le fait que je considère Kant comme un
utopiste un peu niais ne t’étonnera pas, j’ai lu ce qu’il a écrit sur les
relations internationales, c’est très joli mais irréalisable.
D’ autre part, on peut être
persuadé que la visée se confond avec le chemin, sans pour autant que ce soit
vrai …
Et au fond
quel est le but ? De rêver au monde des fées ou de faire ce que l’on peut
avec les moyens que l’on a dans les circonstances on l’on se trouve ?