Je ressens parfois la difficulté à ne pas céder au désenchantement
lorsqu’on se rend à l’évidence qu’on ne peut pas changer le monde ; je
me nourris de l’espoir, ou de l’illusion, que diffuser de belles choses
(l’empathie, l’écoute, la solidarité, dans le respect et sans jugement)
peut avoir un impact sur la mentalité et le moral d’autrui, et par
conséquent, et même si c’est dérisoire, on peut changer le monde...
^^
Une goutte d’eau forme parfois des océans
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Merci encore une fois pour ce commentaire Norman Bates, je m’y retrouve aussi dans sa majorité, pas le temps de faire long aujourd’hui, mais j’approuve et c’est ce que je ressens aussi