Chacun de nous a pu constater qu’il est bien plus
facile de diviser ses semblables, voir, à l’extrême, de les faire s’entre-tuer,
au nom d’égoïstes intérêts ou de naturelles différences, que de les unir dans des causes et
luttes bénéfiques à tous, sans autres considérations, les
$ionistes ont donc, pour perpétuer et renforcer leur règne, jeu
facile de diviser et d’opposer individus, sociétés, nations, religions, civilisations, bref et excusez du peu, quasiment
toutes les composantes de l’Humanité.
Affiché publiquement ou dans l’ombre de l’anonymat, quelles que soient officiellement sa religion, ses opinions politiques ou sa nationalité, tout $ioniste est, par définition, ce qu’on appelle
un sayan et, en langage populaire, un « plante-merde » et n’a véritablement
qu’une seule idéologie et une seule "nationalité".
(*)
Quelles que soient ses chances d’aboutir, toute action politique
visant a unir les gens, à plus forte raison quand c’est contre le
$ionisme, comme c’est courageusement le cas avec Soral et Dieudonné,
est considérée comme péril en la vassale demeure française et
devant être, à titre d’exemple, impérativement détruite par tous
moyens.
C’est dans cette optique
qu’il convient d’analyser la énième montée en ligne du « missi
dominici » BotHuL avec un de ses
sous-fifres, d’abord, comme un signal, dans un petit merdia
communautaire, mais qu’on verra prochainement déverser abondamment
sa logorrhée, lui et bien d’autres, sans retenue, partout ailleurs et sous réserves
d’actions plus « musclées », que « légitimera »
une future législation ad-hoc, âmes sensibles prière de s’abstenir
car ça va saigner. . .
(*) Bien que la
réglementation $ioniste considère que tout juif matrilinéaire,
quelque soit sa nationalité d’origine, est de droit citoyen d’un
état $ioniste démographiquement en construction, à ce titre, la
nationalité $ioniste n’existe donc pas (encore) juridiquement !