Renouer
avec la souveraineté féminine primordiale, incarnation de la Grande
mère, divinité des cavernes paléolithiques vénérée par nos ancêtres sous divers noms à travers le
globe, véhicule de l’énergie
Féminine qui permet de transcender l’existence, le champ de lumière individuel
dont la transmutation permet de se métamorphoser en véhicule ascensionnel,
voilà une perspective spirituelle splendide.
La révolution néolithique
peut être perçue spirituellement comme un processus satanique (et donc de séparation) qui a débouché sur la
domination des engeances patriarcales qui
gouvernent ce monde depuis lors et qui ne souhaitent pas que l’être humain rende
hommage à la Déesse, Mère de la nature vivante. Les religions monothéistes et leurs clergés de ce
point de vue ont été un outil efficace de destruction massive : tous les fondateurs de l’ordre patriarcal
ont eu pour rôle historique d’inverser les valeurs du divin, ils viennent
abolir le règne de la Mère divine et du père mortel pour établir le règne du
Père divin et de la mère mortelle.
La fin du patriarcat n’est pas à pleurer.
Cependant,
le féminisme hystérique contemporain qui le
remplace et va dans le sens de la féminisation de la société avec la théorie du
genre, les femens
et tout le reste est une émanation
moderne de l’aspect démonique et dévoyé du culte de la Déesse mère.
Il ne s’agit plus de faire de l’énergie sexuelle
féminine et du plaisir qui l’ accompagne un danger mortel et un poison pour
l’âme comme dans le patriarcat satanique, il s’agit à présent de cacher le secret féminin, la substance féminine, force
vie et substrat de la manifestation en
exposant la femme en pleine lumière quitte à faire d’ elle un simple jouet sexuel , une
marchandise.
Renouez,
frères et sœurs avec la souveraineté féminine primordiale, dis-je, en vue de la réalisation de l’unité dans la diversité,
principe fondateur de la nature, à rebours du patriarcat Satanique traditionnel et du matriarcat Démonique
moderne.