Quelle mauvaise foi les gars ... Moi j’aime bien voir la bonne tête d’adolescent attardé de Nicolas Doze en train de se réjouir en prenant ses rêves pour des réalités. Avec lui, on a droit à un story telling basé sur la vengeance et le ressentiment ... à croire qu’à part cette posture, il n’a aucune vision politique.