On ne doit pas parler de la même chose.
Prenez le métro.
Vu d’ici, une sous-préfecture rurale, d’un recensement à l’autre la population décroit et la proportion de retraités est, elle, en forte augmentation.
Se promener sur les petites routes et les chemins communaux si vivants, occupés et actifs il y a trente ans laisse une impression étrange. Où sont-ils passés ? Comment cela a-t-il pu changer si vite ?