Il faut que l’on parvienne à ne pas suspecter toute remise en cause de ce que l’on nomme communément "démocratie" d’ambition aristocratique. Je pense qu’entre ces deux lignes de crêtes que sont les deux régimes en question, il y a tout un dégradé de possibilités qu’il convient d’interroger.
Une chose me semble certaine - pour aller dans le sens de micnet - c’est que le curseur est à déplacer vers l’aristocratie, et non vers la démocratie, et ce bien qu’il faille aussi trouver un moyen de confier un réel pouvoir entre de véritables gens du peuple, j’entends des "usagers de la France ordinaire".
Ce n’est pas être aristocrate de le dire, ni même être anti-démocrate.
Cela dit, Joe Chip, je suis globalement en accord avec ce que vous avez marqué.