Bonjour Madame Walter, bravo pour votre
vidéo à un de ceux de l’entre soi, déconnecté des réalités comme ses pairs à
force d’autocensure, d’auto endoctrinement au sein d’une classe journalistique
qui se croit privilégiée et détenant le monopole de l’information nourris à la
sauce pensée unique qui officie sur nos ondes depuis plus de 30 ans.
Il est temps de mettre leur nez dans leur caca, et rien que le fait qu’ils
viennent de découvrir comment les sans dents qualifient nos journalopes (tiens
le connaissent ils ce terme aussi et en veulent ils une définition claire car
il ne doit pas figurer dans leurs dicos ?), ces journalistes qui se changent en
nouveaux inquisiteurs (Bourdin/Dumas) au moindre terme nauséabondement analysé
par leurs esprits sains et purs émanat de nos cerveaux malades de complotistes
polpulistes négationnistes et forcément antisémite ça va de soi.
Toujours les mêmes voix au micro, toujours les mêmes têtes sur nos écrans que
ce soit dans les médias ou le monde politique, se rendent ils comptent de leur
tour d’ivoire immaculée que nous ne sommes plus dans les années 80 ou pour
certais dans les années 30 en train de jouer et rejouer cette omniprésente
deuxième guerre mondiale qui obsèdent toutes nos chères catins des merdias tous
éminemment catholiques bien sûr. N’est ce pas ma chère Elkrief en Rut frisant
l’hystérie pour défendre la seule démocratie du moyen orient pour laquelle elle
travaille activement en terre étrangère, je voulais être une espionne nous
confiait elle il n’y a pas si longtemps, alors j’ai fait journaliste car c’est
un métier assez proche, elle nous espionne, grâce au net nous l’espionnons,
nous nous scrutons, nous analysons de loin par écrans interposés mais Internet
c’est plus que cela encore.
Une encyclopédie vivante qui est le reflet de l’humanité entière qui a pour la
première fois de son histoire l’occasion de se regarder en face à l’échelle
planétaire et aussi une occasion pour elle de faire un bilan sur sa situation
réelle et non plus faussée par le seul prisme autorisé qui avait le monopole de
nous raconter ce qui se passe à travers le monde. Nous avons pour la première
fois de notre histoire une vision élargie pour ne pas dire globale de
l’évolution de notre humanité en temps réel, alors il est clair que certains
qui ne peuvent officier que dans l’ombre ne peuvent que se trouver éblouis et
apeurés par ces lumières qui se braquent sur eux comme autant de paires d’yeux
qui les observent et leur demande des comptes à ces fameux puissants de ce
monde qui sont depuis des décennies pour ne pas dire des siècles toujours à peu
près les mêmes entre héritiers des vieilles familles aristocrates ou
descendants de lignées royales ainsi que toute l’armada des nouveaux riches et
autres parvenus qui siphonent toutes les richesses produites de l’économie
réelle pour les aspirer par d’étranges systèmes de pompes dans leur casino
préféré la Finance spéculative artificielle gérée par autant de robots qui
fonctionnent à la nanosecondes leur permettant de s’enrichir à outrance encore
un peu plus à chaque jour qui passe faisant crever les artisans, les paysans,
les ouvriers, les indépendants au profit du grand capital dont ils détiennent
toutes les ficelles.
Internet permettra sans doute de changer la donne, mais dans quel sens car si
il ne faut pas surestimer ou sousestimer nos "zélites" du sommet de
la pyramide il ne faut pas non plus idéaliser le bas peuple dont les instincts
ne sont pas toujours très sains, alors nous verrons qui d’un côté ou de l’autre
du miroir internet l’emportera sur qui. Les zélites sont largement minoritaires
mais diablement armées et doivent sans doute travailler activement pour nous
priver du seul espace de liberté qu’il nous reste à savoir internet.
Les merdias sont subventionnés faute de lecteur, l’express de l’écharpé rouge
Barbier, petit rigolo à ses heures perdues a été racheté par un israélien,
inutile de dire à qui appartient libération ou le Figaro, bref, ce sont des
Charlie Hebdo en devenir, en faillite, pas intéressant, mensongers en retard de
deux ou trois guerre, la presse papier n’a pour survivre que des subventions
publiques pour tenter de continuer à attirer le chalant dans ses filets de la
propagande la moins subtile ayant été émise à ce jour. Mais se rendent ils, nos
salopes journalistiques, à quel point ils sont ridicules vus et nus de derrières
nos écrans impitoyables ?