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Nigari Nigari 26 février 2015 11:19

@attis
Les programmes Bluebird, Artichoke et MK-Ultra ont finit par sortir dans le domaine public après 30, 40 ou 50 ans… Les projets de recherche sur le contrôle mental sont toujours opérationnels, ils ont simplement été déplacés encore plus profondément dans les méandres des institutions gouvernementales.

En fait ce que l’on nomme "programmation Monarch" semble être une pratique systématique des groupes satanistes, lucifériens, voir gnostiques : le fractionnement de la personnalité combiné avec la démonologie afin de contrôler l’enfant et de lui faire perpétuer les pratiques du culte. Le processus psycho-spirituel que l’on appelle la dissociation de la personnalité est une pratique ancestrale et ce n’est pas un black-programme américain qui a inventé ce truc.

Pour ce qui est des preuves, nous ne pouvons nous basé que sur des témoignages de première main : ceux des survivants et de leur thérapeutes. Il en existe de nombreux, mais il faut chercher dans des livres anglophones. Et ce ne sont pas forcément des gens en lien avec les sphères élitistes comme l’a été Cathy O’Brien. En France, nous avons Karen Mulder qui a essayé à un moment donné de révéler certaines choses qui ressemblaient très fortement à du contrôle mental de type Monarch (esclave sexuelle).... Mais ça doit être une grande parano, n’est-ce pas ? D’ailleurs sa famille l’a vite faite interner...

Les clins d’oeil avec le papillon Monarch et les nombreuses symboliques de poupées automates brisées ne sont qu’un aspect de la chose, certains clips révèlent clairement le processus du contrôle mental basé sur les traumatismes. Dans un de ses ouvrages, la psycho-traumatologue allemande Michaela Huber définit ainsi ce type de programmation mentale : (extrait déjà cité en com sur ce site, mais il mérite d’être rappelé encore une fois)

"La programmation dans le contexte d’un traumatisme est une situation que l’on peut décrire comme un apprentissage sous torture. La métaphore programmation est certainement d’origine informatique et représente dans ce contexte, ce que les psychologues appellent un conditionnement. Ce qui veut dire que la personne qui a été "programmée" doit réagir de manière stéréotypée à un certain stimulus. La réaction de la personne au stimulus est dans ce cas automatique et "appris", donc il ne s’agit ni d’un réflexe naturel ni d’une réaction consciente et volontaire. Pour arriver à ses fins, "le programmeur" que j’appellerai le coupable (ou le bourreau) a utilisé le fait que sa victime soit un jeune enfant, de préférence déjà dissocié (à la personnalité fractionnée) et il a effectué l’apprentissage en torturant la victime. La torture peut comprendre des abus physiques, sexuels, émotionnels et souvent on suggère à la victime qu’elle va mourir si elle n’est pas obéissante. Une fois qu’une victime a été programmée, il est possible de la contrôler avec les stimulus qu’on lui a "implanté" (les ’triggers’ ou déclencheurs). Une personnalité alter qui a été programmée n’est généralement pas une identité complexe et pour cela on l’appelle aussi "programme". Normalement, cette personne a été programmée pour servir à certaines fins : se prostituer pour enrichir le maître, voler, faire de la contrebande de drogues etc. À l’aide de la programmation le maître peut également s’assurer que la victime soit amnésique concernant les abus et la programmation, il peut également faire en sorte que la victime commette un suicide à un certain moment de sa vie ou empêcher que la victime soit capable de parler des événements incriminants le coupable. (Multiple Persönlichkeit, Überlebende extremer Gewalt, Ein Handbuch, Fischer Taschenbuchverlag GmbH, Frankfurt am Main - Michaela Huber,1995)




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