@Muslim
« C’est
aujourd’hui que vous leur créez leur présent, mais je ne vois pas beaucoup
d’activité de la part des français. »
Il faut beaucoup de temps pour que les peuples prennent conscience
des dangers qui les menacent. Les Britanniques commencent à peine à réaliser
que le discours des « Fleuves de sang », prononcé en avril 1968, par Enoch
Powell, tenait de la prophétie. Les Français nés entre 1940 et 1990, eux, ont été
soumis à un matraquage antiraciste qui a complètement anesthésié leur instinct
de conservation.
Cette phase est désormais achevée et ils sont de plus en plus
nombreux – environ 3 sur 4 selon le Rapport 2013 de la Commission nationale
consultative des droits de l’homme - à exprimer leur exaspération face à la
surpopulation étrangère ou d’origine étrangère. Selon le même document
officiel, ils étaient 3 sur 5 à ne plus se sentir chez eux comme avant.
Le 7 janvier, ils ont été rejoints pas la corporation des
caricaturistes et dessinateurs humoristiques, dont plus aucun n’osera,
désormais, prendre le risque de faire assassiner des innocents, au hasard de massacres à l’aveugle, en brocardant Allah et/ou Muhammad.
« Et
vous pensez sincèrement que la plus grande menace qui pèse sur vos descendants
est ce fantasme de l’islamisation de la France ? »
Cela fait 1304 ans que les musulmans tentent d’envahir l’Europe
pour la soumettre à leur système religieux, politique juridique et social.
Après plusieurs raclées mémorables (Poitiers, Lépante, Vienne 1529 et 1683,
notamment), ils tentent de remplacer la force – qui leur fait défaut – par l’infiltration
massive et par la reproduction cuniculaire
« Votre front du
refus n’a pas l’air d’avoir fonctionné en tout cas pour l’américanisation et la
perte de valeurs de votre société. »
Je vous l’ai dit, les peuples sont longs à réagir. Les Indiens d’Amérique
du Nord, puisqu’on en est à l’américanisation, ont mis plus de trois siècles à
comprendre, et c’était déjà beaucoup trop tard. Pour ce qui est des valeurs, je
ne sais pas auxquelles vous faites allusion – il y en a tant, et de tout à fait
contradictoires.
« Certainement que vous vous reposiez »
Nous avions tant fait dans les domaines de l’art,
de la culture, de la science et des techniques que nous avons cru pouvoir nous
reposer sur nos lauriers. C’était une grosse erreur, je ne sais pas si on peut
la rattraper, mais au moins nous aurons essayé, en sauvant ainsi ce qui restait, en ultime ressort, à sauver : l’honneur.