@Tomek
La différence est dans la cohérence du combat. Être mis en échec, ça n’est pas être cocu. Être cocu, c’est chérir les causes dont on déplore les effets.
Eh puis je vous fait remarquer que le monde fourmille du grand retour des identités nationales, seules les âmes vagabondes de la gauche onaniste main dans la main avec les vampires européistes ne sentent pas la vague venir. On verra bien dans quelques années qui aura le cul sale.