Nombreux seront les cocus qui se
réveilleront avec un douloureux mal de cul (Lâ-Bâ
Tsou, demi frère par consanguinité de Lao Tseu)
Elle descend de la Montagne à cheval,
Elle descend de la montagne, Noémie,
Un mont de flouze après partouze avec Soral,
Elle se fout de son mari à la gloutonne boulimie,
Et ses fans qui lui paient des amendes amères à force de dons,
Quenelliers fauchés qui se saignent pour un bout d’ananas,
Une assurance pour leur anus leur dit Dieudonnus Legitimus
Ha ha ha oui vraiment, les dissidonts sont vraiment cons,
Ils étaient issus du showbizz, leurs gourous pleins aux As,
Et tous les sans dents voyaient en eux des héros sortis du dieudobus,
Sincères, courageux, subversifs, alternatifs, étaient décrits les preux,
Par ceux, qui, comme eux, voulaient le changement maintenant,
Mais derrière les paillettes, il n’y avait que la soralienne bistouquette,
Bite tendue aux musulmans, aux culs de négresses dans l’allégresse,
Pas de main tendue pour les dissidonts de la quenelle, les maîtres queux,
Les cerveaux creux, les cerfs volants, ignorants des aboutissants,
Comme des tenants d’ailleurs, puisqu’ils étaient prêts à voter biquette,
Une chêvre à la présidence, croyez vous que la France régresse ?
Noémie Montagne, Noémie Montaigne, au coeur qui saigne,
Elle tient le caleçon du nègre marron et les cordons de la bourse,
De la maison de l’émancipé des plantations de coton,
Comme quoi, à la fin, tout revient au blanc cochon,
Dieudonné à troqué son maître juif pour une esclavagiste aux seins de suif...