« Le problème ne s’appelle pas la Grèce, le problème s’appelle la zone euro. »
Si c’est vrai, si le gouvernement grec le pense, qu’est-ce qu’il attend pour quitter cette zone à problème ?
Bon débarras et qu’ils s’assument enfin courageusement leur dénuement.
Ils me font penser à ces indépendantistes antillais qui disent pis que pendre de la métropole mais vous expliquent qu’il n’est pas encore temps pour l’indépendance : "ils n’ont pas fini de traire la vache" selon la délicate expression corse...