ONFRAY
COSMOS

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Je vous laisse imaginer tous les jeux de mots et anagrammes possible, déclinables à l’envi à partir de ce titre de couverture.... Aveux subliminaux et inconscients de la part de l’auteur, invitation presque quémandée par un critique appel au secours sourd et muet mais qui tente de hurler d’une oubliette qui va déborder de trop de tout pour noyer celui qui tente de communiquer du fond d’une carapace forgée comme un anti soi afin de pouvoir trouver la force de se prostituer dans les merdias tout en ne se coupant pas de lui même, de quoi devenir schizophrène, surtout fragilisé tout comme cette armure d’apparat, le onfray public qui étouffe le vrai ONFRAY qui souffre sous le masque de make up et éternelle prison superficielle alors que celui pour qui ce superficiel n’a plus de sens, s’efforce de sortir de son sourire figé, taquin, presque enfantin qui constitue un gimmick du personnage qu’Onfray s’est fabriqué pour devenir une sorte d’"anti" BHL, chemise noire contre chemise blanche, mais qui partagent néanmoins le même degré de crédibilité, avantage pour Onfray néanmoins, dans leurs domaines respectifs, d’ailleurs la souffrance est toujours plus efficace que de n’avoir pété que dans de la soie depuis le début pour acquérir cette forme de remise en question qui font l’humilité mais aussi la noblesse de certains génies qui sont pour la plupart anonymes et non demandeurs de pseudo gloire sous des projecteurs et des sentiments préfabriqués à base de paillettes, de notoriété marchandée, de narcissisme obscène, d’orgueuil aussi abyssal que cette invitation au voyage au plus profond de son être intime, torturé par tant de larmes qui ne demandent qu’à jaillir à la Orangina quand on le secoue, tant horrifié qu’il est, de se rendre comptent qu’il a été trompé toute sa vie, idéologiquement parlant, plus grave qu’il s’est trompé toute sa vie ? Assistons nous au "réveil d’Onfray" confronté à l’éternel retour du concret aussi douloureux puisse t’il être que sous la forme de la mort de l’être aimé, assistons nous au basculement idéologique d’Onfray, à sa prise de conscience, douloureuse à plus d’un titres, à contrario de l’incurable folie d’un BHL qui n’est pas encore interné pour cause de bonne santé mentale de son portefeuille blindé.