@wesson Et si l’on considère qu’une part des salariés menacés à voté oui tout en pensant non, que beaucoup n’ont pas "osé" voter non (ce fût le cas en 2005 où certains m’ont avoué qu’ils avaient eu peur de voter non tout en se réjouissant du résultat), il est probable que le pourcentage serait encore supérieur.