@maQiavel
Était-il envisageable pour la première puissance
mondiale de voir la Grèce autorisé à s’éloigner des institutions Européennes ?
Bien sur que non.
D’autant plus que la Grèce est assise sur du pétrole pour une valeur de 400 milliards dont on peut imaginer qu’il intéresse au plus haut point les pétroliers Anglo-saxons (pas uniquement bien entendu). De plus, il serait question de rentrées fiscales de 150 milliards de pétro-euros sur 30 ans, soit la moitié du montant actuel de sa dette. Ainsi, les prédateurs économiques et financiers occidentaux ont tout intérêt à maintenir la Grèce dans leur giron (via la dette, l’UE, l’euro voire l’OTAN).