Le hic, c’est que là ce n’est
plus un individu qui fait dans l’humanitaire mais un politique qui est censé
agir dans l’intérêt du bien public et
donc de ses concitoyens. Ce sont deux rôles aux finalités bien différentes.
Cela m’émeut de voir ce
pauvre Syrien amputé du bras expulsé … pourtant si j’étais à la place de Ménard,
ma raison aurait pris le pas sur mes émotions et j’aurais fait pareil, c’est ce
qu’on attend d’un homme politique.