@Joe Chip
Quant à la Syrie, il faudra m’indiquer à quel moment la France a attaqué ou bombardé ce pays, car pour le moment ce n’est pas le cas. Pour rappel, les "pauvres victimes" fuient autant - CE SONT EUX QUI LE DISENT - le régime répressif d’Assad (qui n’est pas un ange) que les barbares de l’EI.

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c’est vrai que la France n’a pas bombarder la Syrie, elle n’a juste pas trouver le truc légal et le soutien pour le faire. Mais cela ne l’a pas empêché d’être active, trop même, dans l’armement des terroristes et des pires djihadistes sanguinaires..., c’est bien beau de dire soutenir les "modérés", quand on ne sait même pas les différencier, et qu’ils passent tantôt d’un groupe tantôt à un autre... la France a une lourde responsabilité dans ce qui se passe en Syrie, certains politiques ne se sont même cachés de l’aide qu’a fourni la France aux dijhadistes.

la Syrie fut une dictature, soit, on n’a jamais eu de flot de migrants syriens, pareil pour la Libye qui absorbait des millions d’Africains des pays voisins y trouvant un travail, et pas seulement comme une digue contre l’immigration..

les réfugiés syriens sont surtout au Liban, en Jordanie et en Turquie (dans de pires conditions), mais il faut se poser des questions sur comment soudainement tous les réfugiés (ou migrants) se retrouvent sur la route vers l’Europe, en fin d’été, et bientôt l’hiver (et sa rigueur, donc attendons à plus de drames), La Turquie joue un jeu très malsain, et elle est prête à pousser l’Europe à entrer en guerre, en plus de jouer sur l’islamophobie, une sorte de rejet des musulmans, maltraitance qui va nourrir encore les rangs des djihadistes, et des recrus pour des attentas pour venger les humiliations subies par les musulmans..

la France n’avait aucun intérêt dans cette politique, ni direct ni indirect, mais elle assumera le passif, ou c’est plutôt les Français à qui on a chanté l’austérité, et qui voient d’un coup des millions d’euros surgir de je ne sais où pour la politique de la charité envers les réfugiés...

souligner cela ne veut en aucun cas dire que nous devons céder au chantage et subir passivement ce désastre, qui a commencé en 2011 et qui donne ses fruits aujourd’hui..