@La Vouivre
"nos grands parents qui ont connu parfois deux guerres mondiales qui mangeaient des choses à faire vomir un rat et qui sont arrivés pour certains à l’âge de cent ans en buvant leur petit litron de rouge et en fumant deux paquets de clopes par jour"

Si c’est le cas de vos grands-parents, c’est une exception qui ne signifie rien. Dans mon entourage je constate le contraire, ce qui confirme les études scientifiques sur le sujet. Le clopeux viandard centenaire, c’est comme le miraculé qui a échappé à la mort parce qu’il ne portait pas de ceinture de sécurité dans sa voiture et qu’il en a été heureusement éjecté avant qu’elle s’enflamme : c’est une rareté, voire un mythe. En général, ceux qui picolent, fument et mangent de la merde finissent très mal très tôt et ont une fin de vie très déplaisante. 

Maintenant, la santé c’est toujours une combinaison de patrimoine génétique et d’hygiène de vie. Le patrimoine génétique, on ne peut pas le choisir ni le modifier. Mais l’hygiène de vie, si.