Après Houellebecq (ICI) et quelques autres parmi l’establishment,
trop peu nombreux, et alors que partout ailleurs l’opposition fait
rage, Michel Onfray se joint à ceux qui refusent cette guerre contre le
terrorisme déclarée par un gouvernement et une Présidence aux abois. Un
(P)président qui court après son fonction depuis son élection, une
fonction dont les habits se sont très vite avérés trop grands, bien trop
grands pour lui, et un premier ministre dont l’assurance, voire
l’arrogance, a tous les attributs d’une bêtise crasse qui représente
aujourd’hui un véritable danger pour la démocratie, la paix et la
concorde intérieures, et ce... sur tous les fronts : social, politique
et culturel.
Sermonneur
comme il n’est pas permis, on peut légitimement douter des capacités de
jugement, de discernement et de sang froid dans les situations qui
l’exigent, de ce premier ministre bouffi d’ambition, qui n’a
manifestement aucune idée des conditions à réunir pour que la société
française puisse retrouver un peu de sérénité sur une nouvelle base :
l’inclusion de tous dans le processus de socialisation fraternelle et
égalitaire.
Les
médias dominants ne sont pas les derniers à contribuer au lynchage de
Michel Onfray ; en priorité la presse et les médias qui soutiennent
l’Etat PS : Nouvelobs, Libé, BFMTV, Le Huffington Post et des "journalistes vedettes" chroniqueurs et interviewers du public comme du privé.
Aussi pour toutes ces raisons, on ne peut que soutenir Michel Onfray et
le faire savoir partout où c’est nécessaire.
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