Il n’eut pas été complètement vain et stupide de proclamer un état d’urgence républicain pour préserver notre souveraineté face aux assauts malveillants de la tentaculaire élite financière apatride, pour rétablir un semblant de justice sociale là où les inégalités sont poussées jusqu’à la nausée, pour résister à toutes, oui toutes, les revendications communautaristes, y compris celles qui conduisent à la culpabilité, l’aveuglement, et au final à la soumission sur notre politique intérieure et extérieure laissée au bons soins d’une puissance étrangère, pour gouverner avec le peuple et non contre son gré et sa volonté jusqu’à violer un choix exprimé dans les urnes, et j’en passe...
Maintenant il est trop tard...
L’état d’urgence version Hollande n’est qu’une bouée de sauvetage pour une candidature en 2017 déjà en état de mort clinique, la posture du chef de guerre est une imposture, l’acharnement électoraliste est autant singulier que dérisoire, le navire "socialiste" va voguer au vent mauvais du mensonge sur un océan d’infamie jusqu’au naufrage inéluctable...
Un autre équipage prendra la relève avec la même feuille de route, le même horizon parsemé de noirs nuages aux contours de décadence, de capitulation, de soumission, d’élitisme...
Hollande, Valls, Fabius, Bismuth, Estrosi, Richert, Bertrand, il faut un barrage sanitaire pour expulser loin des sphères du pouvoir ces nuisibles dont l’entreprise de démolition du bateau France a trop duré...