C’est très bon les protéines en poudre, les vaches en sont folles.
Il me semble que nous avons évolué pour mieux résister à des carences temporaires qu’à des excès continuels. Mais ce n’est que mon avis personnel.
Et puis il y a cette déplorable américanistion des esprits : si une chose est bonne, il en faut plus ("more" est un mot-clé de la pensée publicitaire).