machiavel de mes deux couilles
Arrete de mentir, le Castré, tu ne portes pas ce pseudo pour rien...
C’est vous dire le niveau.
Eh bé, c’est sur, je suis extrêmement loin du niveau de supériorité morale immanente et absolue du castré, héros de la bétonnière, de la couverture de survie et du couteau en forêt, le grand dissident transcendent, jamais je n’oserais prétendre l’inverse, mon niveau est au ras des pâquerettes mais je ne suis point un blasphemateur...
Mais je n’ai pas eu la chance d’avoir été formé par Chuck Norris, il faut m’excuser, quand j’ai envie de rire, je ris, la pitoyable engeance que je suis reste spontané devant les situations qui l’esclaffe.
Ne sois pas sévère avec moi, Ô macgyver du cloud, montre moi la lumière, apprend moi à vivre, apprend moi ce dont on peut rire et ce dont on ne rit pas, apprend moi le bien et le mal...
M’apprendre ? Que dis je ? Présomptueux !Le misérable que je suis en est incapable.
Ah je rêverais d’avoir la morale et la science infuse du castré (concernant son entre jambes, c’est une autre histoire), les hommes ne sont décidément pas égaux, quelle tristesse...