@njama
"On ne fait pas la guerre aux gens que l’on connaît, que l’on apprécie, que l’on aime..."
Ça a été particulièrement net dans la Yougoslavie des années 1989-95.
Vous savez on ne connaît guère que quelques personnes, jamais tous les gens. Par exemple, en 14-18, il y a eu des scènes de fraternisation sur le front. Et puis, les hostilités ont repris contre LES Allemands d’un côté, contre LES Français de l’autre côté : le perception de l’Autre avait repassé de l’individuel au collectif.