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Baston Labaffe Gaston Lagaffe 21 mars 2016 09:48

@lancelot
Er alors ? Haziza aussi est séfarade en apparence, mais sa mère fumait du hash en étant naze, donc ceci expliquant cela, rien d’impossible pour ces "gens là" d’avoir trois ou quatre grands pères déportés dans le tiroir caisse de la prostitution mémorielle.

Frédéric Haziza est le fils d’Isaac Haziza, d’une famille juive d’Algérie, et d’Huguette Lancner, d’une famille juive de Pologne agnostique et communiste. Ses parents se sont rencontrés et mariés en 1960 à Paris où son père était venu se soigner. Celui-ci, enseignant pendant trois ans dans les écoles de Maghnia1,2, parlait judéo-arabe avec ses parents, tandis que sa mère parlait le yiddish avec les siens. Son grand-père maternel Majloch Lancner, né en 1903 en Pologne, a émigré en France avec sa famille pendant la guerre ; ils ont été arrêtés en 1942 par les Allemands, internés au camp de transit de Beaune-la-Rolande, avant d’être déportés le 28 juin 1942 par le convoi no 5, directement vers la Pologne, à Auschwitz, où il est mort le 7 juillet suivant. Heureusement, une paysanne prénommée Marguerite était venue chercher leur fille le lendemain de la rafle du Vélodrome d’Hiver (le 17 juillet 1942), et l’a cachée chez elle, à la campagne, jusqu’à la fin de la guerre3.

Carrière journalistique... NULLE, rien à ajouter de plus (source wikipédophile)



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