Partie II

Problématique migratoire

La fédération des communes ayant identifié à l’instar d’autres groupes que l’immigration forcée des individus, puis des peuples, puis des civilisations, venait de la pauvreté et contribuait à la pauvreté sur le lieu d’accueil (hormis pour l’enrichissement d’une clique de parasites), l’établissement de nouvelles personnes sur un territoire communal sera laissé à la libre évaluation des dites communes. Cependant, aucune surcharge numérique et impossible à contrôler, ne sera tolérée. Les accueillis devront se plier aux règles édictées par les communes autonomes.

Le nomadisme intra-territorial sera préservé pour ceux qui le souhaitent, mais également régulé et expurgé de toutes formes de prédation nuisible aux citoyens (vols, violence, nuisance...) sous peine de punition sévère.

Défense

L’Histoire de France ayant prouvé maintes fois que jamais le peuple ne se résignait, toujours il combattait, la défense ne sera plus nationale mais communale. Chaque regroupement se trouvera pourvu en armes (fabriquées en ateliers, dont l’arsenal précis ne sera pas connu du public) dans le but d’éventuels combats rapprochés.
Le déploiement de la population sur tout le territoire rend de facto impossible la soumission du peuple dans son ensemble. L’utilisation d’armes de destruction massive perd par conséquent tout fondement et utilité.

Medias

Un canal médiatique national sera réservé pour les communications importantes de la coordination des communes. L’utilisation de réseaux sociaux réservés aux communes sera encouragé.
Les medias à buts commerciaux disparaîtront en même temps que la consommation inutile et la disparition effective du mal-être des citoyens induit par la publicité et la consommation compulsives de marchandises grotesques.