Quelle mauvaise chanson de facture gauchiste ! Quelle musique de guitare à trois accords ! Quel ennui, quelle déprime ! Il y eut une époque où tout en France finissait par des chansons, des chansons si pleines de joie de vivre que le souvenir de l’immigration de deux ou trois millions aux ordres de tels malfrats eût été transfiguré en un autre bon moment de plus.